La diplomatie scientifique, nouvelle déclinaison de la diplomatie d’influence

Les États cherchent par tous les moyens à rayonner à travers le monde et à exercer une certaine influence. Le soft power est souvent leur premier outil. Michel Audet, professeur associé aux HEC à Montréal, pense que la coopération scientifique se fait une place comme instrument au service de cette influence. On peut dès lors parler de l’émergence d’un nouveau concept, celui de la « diplomatie scientifique ».